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Aqui no Rio... Um ano na cidade maravilhosa

26 janvier 2006

Colombia

Quelques photos en vrac, les commentaires et les autres viendront plus tard

La cote Caraibe, le parc national de Tayrona

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Dans un village de pêcheurs près de Santa Marta

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Bogota, le quartier de la Candelaria

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La plaza Bolivar, un jour de manifestation étudiante

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A suivre des photos de la ville coloniale de Cartagena et du Venezuela

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28 octobre 2005

Churrasco em Itaipava

Direction Itaipava ce week end pour l’anniversaire d’un ami de Bruno, Miguel qui fêtait ses 23 ans, je crois

Itaipava, une ville de l’état de Rio de Janeiro, située au nord, dans la région des montagnes et particulièrement réputée pour la bière du même nom qui y est produite.

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Un churrasco (barbecue) classique, à la brésilienne : des calabresas (saucisses), du pão de alho (pain à l'ail), des filles, de la viande ao ponto, beaucoup de musique et bien sûr des litres et des litres de bière ou caïpirinha

Nic, desol, j'ai oublié de prendre des photos de (Francis) graille

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22 octobre 2005

Mangueira…

Trois syllabes totalement anodines pour n’importe quel novice, un mot signifiant à la fois « tuyau d’arrosage » et « manguier » ! Allez savoir pourquoi…

Laissant ces considérations absurdes de côté, laissez moi vous apprendre que la Mangueira est une véritable institution carioca, une des multiples écoles de samba de la ville de Rio, qui prépare toute l’année le spectacle qu’elle présentera au cours du fameux carnaval, en février.

Situées généralement au pied des favelas, les écoles de samba sont des endroits incontournables pour tout bon noctambule qui se respecte, où des brésiliens de tous âges et  provenant de toutes les classes sociales se retrouvent pour faire la fête et se déchainer au rythme de la "bateria".

Il ne faut jamais arriver trop tard, afin d’éviter la foule et la trop longue file d’attente, mais surtout afin de se poser dans la rue, à l’entrée, et s’imprégner de la vague d’allégresse qui semble avoir subitement submergé le quartier.

C’est l’effervescence, ça grouille de partout. Les vendeurs ambulants de sandwiches, hamburgers, cachorros quentes (hot dog) et cocktails en tous genres ont envahi la rue qui mène à l’entrée de l’école. Ici, vous vous sentez réellement en plein Brésil, pas dans la (trop) fade Zona Sul et ses quartiers chics de Leblon et Ipanema.

Les gamins trimbalant leurs cannettes de bière crient dans tous les sens « SKOL, SKOL, SKOL !!! » (marque de bière locale), ils vous abordent toutes les trente secondes, vous entamez la discussion et vérifiez bien évidemment que la cannette est « estupidamente gelada », c'est-à-dire « stupidement fraîche », condition sine qua non pour déguster une bière au Brésil.

Allez on en est à combien de bières? 4? 5? Bon, il est temps de rentrer, la Mangueira nous attend.

Aujourd’hui, c’est un soir particulier, il va falloir choisir quelle samba représentera les verts et roses (couleurs de la Mangueira) au carnaval. Autrement dit, une grosse ambiance en perspective…

La salle est déjà bondée, les tambours battent leur plein et imposent un rythme d’enfer qui vous prend aux tripes. Les membres se mettent à chanter (hurler...) et tout votre corps se perd dans un gigantesque frisson.

“A Mangueira chegou, a Mangueira chegouououou!!!” (“La Mangueira est arrivée”)

Les sambas défilent, vous êtes happés par cette ambiance surnaturelle. Etant le véritable "carioca da gema" (carioca de pure souche) que vous êtes, vous vous déchainez au rythme de la musique. Les filles vous regardent d’un air amusé, « Eh pas si mal le gringo, il se lâche » et puis, quand elles viennent samber à côté de vous pour vous donner la leçon vous comprenez alors réellement ce que c’est que de l’avoir dans le sang… !

Cette nuit là, la samba nous a accaparé jusqu’à 5h30 du matin au moins. En sortant, la rue était encore et toujours aussi bondée et animée. On sent que la nuit n’est pas prête de s’arrêter

12 octobre 2005

Buenos Aires 12 - 18 octobre

Petite semaine chez les deux ex-madrilènes: le gros Dieg et ce vieux pirate d'Alex (alias partner 225)

Je vais pas y aller par quatre chemins à propos de mes impressions sur Buenos Aires: dès mon arrivée dans le centre par l'avenida 9 de Julio, je me suis senti à Madrid sur la Castellana.

L'ensemble de l'architecture de la ville me rappelle la capitale espagnole: cela va de la façade des immeubles à l'aspect des trottoirs en passant par le style des panneaux publicitaires...!

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La ciudad des porteños (les gens du port) a une âme européenne et ça se sent! Suis-je dépaysé (Brésil), repaysé (Paris)? Je n'en sais trop rien... Ce qui est sûr, c'est que Rio semble très loin!

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A aucun moment l'Atlantique ne semble si proche, ou plutôt le rio La Plata pour être exact.

Buenos Aires se situe en effet au milieu du plus grand estuaire du monde. De l'autre côté se trouve l'Uruguay et la ville de Colonia.

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La ville, entierement quadrillée, est immense et s'étend à perte de vue notamment en raison de la platitude de la région (c'est presque "la Pampa"). J'ai notamment pu le constater depuis le hublot de mon avion qui arrivait en plein jour par temps dégagé.

Encore un aspect de la capitale argentine qui contraste avec Rio, dont l'agglomération compte à peu près autant d'habitants mais semble bien moins étendue, du fait de son encastrement entre les montagnes.

La plaza de Mayo, coeur de la ville, avec le palais présidentiel au fond en rose, résidence de Mr Nestor Kirchner, président depuis 2003

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Buenos Aires est également la ville du monde où j'aurai constaté la plus impressionante concentration de taxis.

Une concurrence qui fait chuter les prix? Le tarif de départ se situe autour de 1,70 peso (même à Rio il est à 3,45 reais...)

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Deux quartiers diamétralement opposés illustrent chacun à leur manière l'esprit européen.

Tout d'abord le quartier chic de la Recoleta, où les immeubles haussmanniens foisonnent:

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Bienvenue à Paris, euh pardon, Buenos Aires

Ensuite le quartier portuaire et populaire de la Boca, de style napolitain (ne m'étant encore jamais rendu à Naples, je me fie ici aux commentaires du Routard).

Peut-être était-ce d'ailleurs la raison pour laquelle Maradona s'y est senti comme chez lui...

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Bien qu'un peu touristique par certains endroits, c'est le quartier de Buenos Aires que j'ai préféré

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Dans les années 30, un peintre natif du quartier, QUINQUELA MARTIN, décide d'y construire une école, il demande aux habitants de venir peindre les murs, chacun arrive, mais avec une couleur différente, qu'à cela ne tienne… Le résultat est tellement gai par rapport à la grisaille ambiante que chacun applique la méthode à sa propre maison

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Le quartier respire le tango, mais surtout le foot. C'est ici que le culte de Diego Armando Maradona, "el Pibe de Oro" est le plus répandu. Il a débuté au club de Boca Juniors en 1981, où il joua 40 matchs et marqua 28 buts avant de s'envoler pour le FC Barcelone en 1983. Il reviendra au club de son coeur en 1995 pour y rester cette fois ci jusqu'en 1997 (7 buts en 30 matchs).

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Le stade de la Bombonera (qui doit son nom à son apparence, en forme de "bombonière") est à deux pas. J'en ai profité pour jeter un coup d'oeil au musée du club.

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Section spéciale pour les fans de maillots (dont je fais bien évidemment partie):

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Le "cri" de Munch à la sauce Boca (l'allégorie du desespoir porte ici les couleurs du grand rival, River Plate):

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Le hasard du calendrier argentin a bien fait les choses: le derby de feu River/Boca a lieu dimanche, en plein pendant mon séjour. A peine arrivé en terre gaucho, je me suis donc empressé de rejoindre Diego à la billetterie de l'Estadio Monumental afin que nous nous munissions sans plus tarder des précieux sésames.

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Nous nous sommes donc retrouvés au milieu d'un stade entièrement dévoué à la cause de River, l'ambiance y était absolument inouïe mais s'est malheureusement éteinte au fil de la rencontre tant le spectacle offert sur la pelouse ne fut pas à la hauteur des tribunes.

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Et oui, comme vous pouvez le constater, au Monumental, même les arbitres ont une tribune de supporters (copyright: Diego's):

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Le reste du séjour se partagera entre empanadas de carne, choppes de Quilmes, bifes de Cho et de Lomo (comprendre steaks de 5 cm d'épaisseur), Dulce de leche, glaces chez FREDO, sorties en boites dont j'ai oublié le nom, soirées Erasmus, découverte du nouvel album de Franz Ferdinand, marathon Parrain et quelques très bons matchs PES

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Je sais, Homer Simpson ne fait pas vraiment couleur locale, mais expliquez moi comment j'aurais pu ne pas le mettre...?

Voici deux photos prises dans le hall d'une fac où je suis rentré complètement par hasard. C'était le 17 Octobre, soit trois bonnes semaines avant le sommet des Amériques qui devait avoir lieu à Mar del Plata, le week end du 5 Novembre. Comme vous pouvez le constater, les étudiants argentins commençaient déjà à se mobiliser pour accueillir Bush comme il se doit...

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Quelques photos de l'appart d'Alex et Dieg, sur Cordoba (les porteños ont la particularité de ne pas employer les mots "avenida" ou "calle", ils disent directement "Cordoba", "Santa Fe", "Corrientes" ou encore "Florida"):

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Vous aurez noté la bûche suspendue au plafond, juste au dessus du bar, qui fait prendre au lieu toute son ampleur...

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Vous comprenez désormais pourquoi vous allez les retrouver body buildés quand ils reviendront à Paris

Ceux qui ont eu le privilège de séjourner dans leur appart madrilène d'Argüelles ont peut-être le sentiment qu'il y a quelque chose qui cloche... Vous vous sentez perdu? Vous ne vous sentez pas chez eux?

Rassurez vous tout de suite, j'ai gardé les photos de la cuisine pour la fin...

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Sans rancune les mecs hein...

Et encore là ça va

De toutes façons, j'y ai moi même activement et très fièrement contribué

Merci en tout cas pour ce séjour chez les gauchos, les clichés s'y sont avérés véridiques et furent plus qu'appréciés: on y trouve réellement la meilleure viande du monde, ça danse le tango dans la rue, et si Pelé en est le roi, Diego est bien le Dieu de ce sport de légende.

Bref, je suis revenu baba de BA...

Mmmm elle est bien mauvaise celle-là

J'ai maintenant bien hâte de vous accueillir chez les cariocas!!!

16 septembre 2005

Iguaçu ou Iguazu ou Yguazu... 16/18 Septembre

Pour les indiens Tupi-guarani, Iguaçu signifiait "grandes eaux". Selon la légende, les chutes naquirent sous la colère de Mboi, le dieu serpent, qui, apprenant l'infidélité de sa promise, creusa d'un coup de queue une crevasse dans le fleuve.

Les chutes ont été officiellement découvertes en 1541 par Don Alvares Nunez, gouverneur des colonies espagnoles.
L'Unesco les a inscrites au patrimoine mondial en 1986.

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Bon j'avoue, les photos aériennes sont pas de moi. Nous n'avons malheureusement pas tenté le tour en hélico...

On dénombre 275 "cataratas" (chutes), dont 250 petites. Elles atteignent des hauteurs pouvant aller de 55 à 73 m, et se déversent dans un gouffre sur une largeur de près de 4 Km entre les rochers.

Point de vue côté brésilien:

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Petit tour en bateau jusqu'au pied des chutes. Rien à voir avec les promènes-couillons du Niagara à vitesse d'escargot... Ici, on nous fait embarquer sur de véritables hors bord!

yguacu___paraguay___argentina_0251Arrivés à l'embarcadère, nous insistons bien évidemment pour monter à bord du navire dont le capitaine est le plus intrépide... "Quien es el mas loco?" On nous répond: "Este! Este es Luis el Loco...!"

Inutile de préciser que Luis a pleinement justifié sa réputation

Quelques photos à bord (quand on était encore secs...):

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La Garganta del Diablo

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Côté argentin, sur le circuit supérieur:

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La ville de Foz de Iguaçu... Oui oui je vous assure, on est bien au Brésil, pas dans une ville d'Union Soviétique dévastée par la guerre de 45!

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La vie nocturne rivalisait avec les plus grands nights-club de Poitou-Charentes... Nous nous sommes donc occupés comme nous pouvions.

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Ciudad del Este

Cette ville paraguayenne est connue pour être un gigantesque foyer de contrebande. Nous nous sommes donc évidemment empressés de nous y rendre afin de déambuler au milieu de ce marché où fourmillaient des vendeurs à la sauvette en tous genres et apporter notre contribution au traffic.

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Sur le fameux pont reliant le Paraguay au Brésil, où la valse de piétons, motos et voitures semble ne jamais devoir s'arrêter

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La douane...

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Le marché se situe au milieu de cette grande avenue bordée d'immeubles délabrés, occupés par des sortes de "supermarchés" remplis de produits tous plus faux les uns que les autres. Tout se copie: cela va du plus classique comme les parfums, appareils photo... au plus incongru avec les voitures téléguidées!

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L'économie paraguayenne est comme vous pouvez vous en douter, au plus mal. Pour ceux que ça intéresse:

Au Paraguay, la crise argentine a nettement aggravé une récession (-4% en 2002) qui dure depuis 1998. La forte dépréciation de la monnaie paraguayenne, le guarani, fragilise les bilans des banques et des entreprises en raison de la dollarisation importante de l'économie. Le pays a fait appel au FMI afin d'éviter un défaut sur sa dette. Il s'avère cependant incapable de mette en place les réformes exigées en raison du mécontentement populaire et de la faible cohésion politique. Un défaut sur la dette, probable, entraînerait une nouvelle chute du guarani qui affaiblirait encore un peu plus les entreprises endettées en dollar.

Ah la la, les eternels bienfaits de l'impérialisme américain en Amérique Latine...

Nous voici en plein mercado: des t-shirts Bob esponja, des lunettes de soleil cocaces, des montres Cartier... sans oublier les fameux vendeurs de chaussettes! On a même trouvé le moyen de s'acheter des billets de 10 000 Guaranis! (pour info, 1 Euro vaut environ 7200 guaranis)

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Il faut savoir que Ciudad del Este et toute la région d'une façon générale, sont source de préoccupation internationale (ou devrais-je dire de préoccupation américaine). Lancé par les Etats-Unis, le combat contre l’« axe du Mal » a en effet une résonance particulière dans ce recoin du monde. La CIA suspecte plusieurs organisations terroristes (dont le Hezbollah) de s'être implantées dans cette région de non-droit dite des « Trois Frontières » (celles du Brésil, du Paraguay et de l’Argentine). Le traffic incessant lié à la contrebande n'arrange pas les choses et participe au blanchiment de l'argent sale.

Quelle fierté que de posséder un passeport où figure désormais le tampon d'un pays dans le collimateur de Washington!!! J'ai hâte d'aller écouter un discours de Chavez à Caracas afin d'exhiber fièrement tous ces beaux tampons à la douane de New York...! (En même temps y'en a qui ont l'Iran... Respect)

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10 septembre 2005

Buzios, le St Tropez brésilien au même titre que Bodrum, le St Tropez turc !

Vue de la maison de Bruno

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Il paraît que si on zoome il se met à danser…

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La plage ou soi-disant « il faut aller », le genre de précepte que j’adore…

On y est d’ailleurs même pas resté. A mon grand regret…

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9 septembre 2005

Au sommet du Pão de Açucar…

Je sais pas qui prend ce genre de photos stupides…

A vous de deviner ! Qui a les vertes, qui a les bleues ?

Indice : j’étais en short ce jour là…

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Quelques vues tout de même...

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Au fond: la plage de Copacabana. Au premier plan: deux brésiliens de pure souche

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1 septembre 2005

1er Septembre, 1ère soirée dans l'appart

Installé depuis deux semaines, Chris arrivée depuis 5 jours environ, quoi de plus normal que de rassembler du monde au 385 Rua Visconde de Piraja pour y faire couler la bière et la caïpirinha à flots...?

Dieg, pour ton info, cette fille sur le canap est un peu americano uruguaiano bresilieno allemande...

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Si tu veux que tes enfants la battent au nombre de passeport plus tard, il va vraiment falloir que tu te cases avec une russo hong-kongaise...

Alors là, on est dans le salon, avec de gauche à droite, Mario, colombien adopté par des Norvégiens; Juliana, brésilienne; euh au milieu je sais plus son prénom mais je sais qu'elle est argentine; Martine, norvégienne et Patrick, français d'origine angolaise.

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Dans la cuisine, avec Benoît, français entouré de deux brésiliennes avec à droite Liana, soeur de Bruno, mon pote brésilien connu l'année dernière à Dauphine et chez qui j'ai passé (squatté) les trois première semaines à Rio.

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Re cuisine avec moi en plus

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On se retrouve maintenant sur le mini balcon. Traditionnellement espace dédié à la empregada (l'employée de maison). Sur cette photo, c'est tout aussi simple que sur celle d'avant: les mecs sont brésiliens et les filles françaises. De gauche à droite: Bruno (également rencontré l'année dernière à Paris), Thiago, Marie, Bruno (chez qui je squattais et pas vraiment à son avantage ici... Bruno desol d'avoir quand meme posté la photo, j'en mettrai une plus tard où t'es beau), Alexandra et Claire.

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Là c'est un français qui cherche de l'eau dans le frigidaire car il ne supporte pas l'alcool

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Voilà, Bruno est déjà mieux sur cette photo-ci! A gauche, Marie, française également

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Bruno et moi dans l'entrée

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J'ai entendu dire qu’il y avait une franco grecque aussi… Vous l’avez aperçue ? Moi non… Il paraît que la seule photo d’elle de la soirée était trop compromettante pour être publiée…

Si vous voulez voir à quoi ça ressemble, vous connaissez mon adresse mail…

12 août 2005

No jardim botânico, je sais plus quand en Août

L'empereur Dom Pedro y avait une maison pour se reposer quand la vie était trop dure.

Connu pour être un grand voyageur, il ne revenait jamais les mains vides de ses différents périples et regroupa de nombreuses arbres et plantes dans le jardin de son humble demeure.

En dernier, la fameuse allée royale, bordée de palmiers

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30 juillet 2005

Plage de Copacabana depuis Arpoador

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Un de mes points de vue préférés de la ville

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